Le Rhode Island affronte les remous d'une pandémie imprévisible
Au printemps 2020, la COVID-19 faisait une apparition timide dans l'État du Rhode Island, avec un nombre de cas relativement faible. Cependant, des facteurs géographiques, démographiques et socio-économiques ont accentué le risque de hausse des contaminations. En décembre, le Rhode Island, qui est le plus petit État américain de par sa superficie, enregistrait des taux records de nouveaux cas par habitant (lien externe).
Dès le début de la pandémie, tous les acteurs, de la gouverneure aux responsables de la santé publique, en passant par les médias et les citoyens, ont cherché à obtenir des informations exactes, factuelles et opportunes sur la Covid pour faciliter leur prise de décision. Ils se sont posé une myriade de questions telles que « Quel est le taux actuel de contamination ? Quelles sont les causes profondes de cette forte poussée dans l'ensemble des groupes de la population ? Quelles personnes risquent le plus de contracter le virus et d'être hospitalisées ? Quels types d'activités sociales, récréatives et professionnelles contribuent à aggraver la transmission ? Doit-on envisager de passer à un enseignement en ligne à distance pour les élèves de la maternelle jusqu'au secondaire ? »
Entre-temps, l'équipe de spécialistes des données de l'État a travaillé d'arrache-pied pour fournir des informations exploitables en se basant sur des cas confirmés, sur le traçage et le dépistage des cas contacts, ainsi que sur les hospitalisations et les décès. Néanmoins, la pandémie a été si fulgurante que l'équipe ne disposait pas des moyens humains ou des systèmes nécessaires pour traiter et analyser efficacement les énormes volumes de données transmises par les hôpitaux, les laboratoires et d'autres établissements sur tout le territoire.
« Il y a une soif de données, une soif de chiffres, une soif de disposer d'informations scientifiques sur lesquelles baser nos décisions », explique Joseph Wendelken, responsable de l'information du RIDOH (Rhode Island Department of Health), le département de la Santé du Rhode Island. « Il nous fallait cependant recueillir les données [issues de sources disparates] et les préparer d'une façon compréhensible par le public. »
Il s'agissait d'une vraie course contre la montre. En étroite collaboration avec l'équipe chargée de l'analytique et de l'IA d'IBM® Consulting, l'État a immédiatement fait appel à plusieurs spécialistes, créé un lac de données dans le cloud et mis en place des processus automatisés qui allaient permettre de réaliser des analyses plus rapides, plus sophistiquées et plus fiables. En trois semaines, l'équipe chargée des données fut en mesure de diffuser des informations approfondies sur la Covid indispensables pour orienter les décisions politiques et opérationnelles et tenir le public informé.
Production d'analyses géospatiales accélérée, passant
à 4 heures
Mise à disposition d'informations sur la COVID-19 en temps quasi réel pour les autorités de l'État qui peuvent ainsi réagir en
pour modifier les politiques de santé publique
Disparités sanitaires lissées grâce à une plus grande
dans l'allocation des ressources
À bien des égards, le RIDOH était bien placé pour aider l'État à répondre à une pandémie. Il jouissait déjà d'une réputation d'organisme avant-gardiste au niveau national. Il employait des spécialistes des maladies infectieuses mondialement renommés et d'autres experts, et il collaborait avec des instituts universitaires et de recherche de premier plan.
En outre, il avait constitué un vaste réseau de partenaires communautaires locaux et régionaux, auquel il a fait appel pour lancer l'initiative Rhode Island Health Equity Zone. Adoptant une approche collaborative et locale, cette initiative a créé des zones d'équité sanitaire à l'échelle de tout l'État. Au sein de ces zones, les responsables communautaires et les résidents pouvaient se réunir pour identifier et traiter les problèmes socio-économiques et environnementaux à l'origine des disparités en matière de santé dans leur région.
Il n'en reste pas moins que le Rhode Island est le deuxième État le plus densément peuplé(lien externe) des États-Unis. En outre, un pourcentage relativement important de la population vit dans des maisons de retraite, des résidences médicalisées et d'autres établissements collectifs.
Dès que des cas de Covid ont été détectés, l'ancienne gouverneure Gina Raimondo a mis en place une réponse unifiée et intergouvernementale à la crise. Elle a créé l'Unité de réponse à la COVID-19, une organisation inter-organismes chargée d'aider l'État à atténuer et à réduire l'impact et la propagation du virus.
Elle a collaboré avec un organe d'État, l'Equity Council, qui assure le traitement en priorité des besoins spécifiques des communautés de personnes de couleur, des quartiers défavorisés et des zones à forte densité de population, qui ont été parmi les plus durement touchés par la pandémie. En outre, elle a exhorté les citoyens à rester chez eux, a fermé temporairement toutes les écoles publiques et a lancé de vastes programmes de traçage et de dépistage.
Gina Raimondo et son équipe ont adopté un processus décisionnel fondé sur la science et les données, point de départ fondamental des stratégies décidées par l’État pour répondre à l'urgence et décider des mesures d'accompagnement ultérieures. « Les données sur les taux de contamination et sur l'impact de la Covid sur les différentes communautés de l'État sont réellement au cœur de toutes les décisions que nous prenons », explique Joseph Wendelken.
Par exemple, au début de la pandémie, l'État s'est servi d'indications fournies par les taux de cas, le nombre d'hospitalisations et l'analyse des codes postaux pour identifier les communautés touchées. Ensuite, en s'appuyant sur les relations et les infrastructures de la Health Equity Zone, il a organisé des distributions d'aliments, de masques et d'autres fournitures aux personnes isolées vivant dans les zones touchées et il a facilité le traçage et le dépistage des contacts dans ces zones.
« Ce qui est unique dans le Rhode Island, c'est que les gens s'identifient vraiment à leur lieu de résidence. C'est un endroit très orienté vers la communauté... Nous avons donc travaillé en étroite collaboration avec nos Health Equity Zones (zones d'équité sanitaire) et avec les municipalités afin de vraiment renforcer cet engagement au niveau local. C'est une démarche qui a été régulièrement choisie tout au long de notre stratégie de réponse », explique Joseph Wendelken.
Leanne Lasher, responsable des données sur la COVID-19 pour le Rhode Island, supervise l'équipe chargée des données et de l'analytique de l'Unité de réponse à la COVID-19. Il lui incombe, ainsi qu'à son équipe, de produire chaque jour des données de surveillance, d'analyse et de renseignement sur la Covid-19 qui sont ensuite partagées en interne et avec le public.
Auparavant, Mme Lasher était responsable de l'équipe chargée des données et de l'analytique au sein de l'Unité de réponse à la COVID-19. Au cours des premiers mois de la pandémie, elle et son équipe ont créé plusieurs systèmes de données sur la Covid qui extrayaient des informations provenant de sources complexes. L'équipe a également élaboré de nombreux rapports de routine afin de relayer des statistiques pertinentes et des informations essentielles aux autorités de l'État à l'aide de tableaux de bord descriptifs et prédictifs. Ce travail a contribué à faire du Rhode Island un chef de file en matière de prise de décision factuelle, valant au passage à l'État d'obtenir la meilleure note en matière de qualité des données dans le cadre du COVID Tracking Project (lien externe) qui surveillait les données publiques sur la Covid.
L'équipe s'appuyait cependant sur des processus lourds, souvent sur papier, pour fusionner les ensembles de données en une source unique et fiable d'informations de base indispensables à la génération de rapports statistiques descriptifs et d'analyses géospatiales.
« Les systèmes de données sur la Covid ont été mis en place très rapidement et les données ont été collectées de différentes manières, ce qui a créé de nombreux ensembles de données complexes. Par exemple, nous collections les résultats d'analyse de plus de 40 sites de test différents », explique Leanne Lasher. « En outre, il fallait parfois une journée entière pour corriger les bogues dans le code utilisé pour télécharger et fusionner les ensembles de données », ajoute-t-elle.
« Nous produisions un nombre extrêmement élevé de rapports et répondions à de multiples demandes de données. Les responsables se retrouvaient avec une telle quantité d'informations à assimiler qu'il devenait indispensable de pouvoir synthétiser les données pour générer des résultats exploitables et les diffuser sur plusieurs canaux, tant pour les responsables que pour les citoyens », précise-t-elle.
En outre, elle ne disposait pas d'un nombre suffisant de collaborateurs possédant les compétences requises. Son équipe avait été élargie, mais les taux de rotation restaient élevés. Leanne Lasher estime qu'en période estivale, elle consacrait environ 50 % de son temps au recrutement et à la formation.
Compte tenu de ces difficultés et de l'évolution constante du contexte de la pandémie, il est apparu clairement au mois d'août que cette stratégie de réponse à la Covid approchait de ses limites : il lui restait quelques semaines, tout au plus, pour pouvoir encore fournir des données et des analyses cohérentes et efficaces sur lesquelles appuyer les opérations et la marche à suivre. L'équipe de gestion des données avait besoin d'un afflux urgent d'informations analytiques et de technologies robustes pour pouvoir poursuivre sa mission.
L'Unité de réponse à la COVID-19 avait récemment fait appel à IBM Consulting pour qu'il l'aide à moderniser et automatiser ses systèmes dédiés à la Covid, en partie pour que les élèves du primaire et du secondaire puissent reprendre les cours en présentiel à la rentrée de septembre. À cette fin, IBM a aidé le Rhode Island à mettre en place une équipe spécialisée dans l'étude des contaminations et le traçage des cas contacts en milieu scolaire, ainsi qu'un centre d'appels de dépistage, le tout en l'espace de deux semaines. Le département de la Santé a également collaboré avec IBM pour créer un centre d'appel opérationnel dédié à la COVID-19 et pour lancer un agent virtuel en ligne chargé de répondre aux questions du grand public sur la COVID-19.
Dans le cadre de cet engagement, l'unité a participé pendant deux semaines à un atelier de réflexion conceptuelle et d'ergonomie sur l'utilisation des données analytiques organisé par IBM. Cet atelier constituait une première étape pour améliorer les opérations du Rhode Island en matière de données et d'analytique. S'appuyant sur IBM Enterprise Design Thinking® et d'autres méthodologies IBM Garage™ (des pratiques reconnues qui aident les organisations à concevoir, élaborer et mettre à l'échelle des solutions pour opérer une transformation de bout en bout), IBM a aidé l'unité à évaluer les processus « en l'état » appliqués aux données et à l'analyse et à déterminer comment les rendre conformes aux attentes.
Au cours d'une session d'idéation collective, les participants ont identifié et hiérarchisé l'importance des projets analytiques et des requêtes que l'unité n'avait pas encore pu traiter, faute de temps, de capacité, de compétences ou de ressources suffisantes. Cet exercice a permis à tous de comprendre que l'une des principales priorités de l'unité consistait à générer des informations de façon plus rapide, plus fiable et en temps quasi réel, en créant un nouveau lac de données sur la Covid.
Appréciant le leadership éclairé d'IBM, ses méthodes innovantes et la grande qualité de son travail, l'unité a alors décidé de solliciter son aide pour atteindre les objectifs envisagés lors de l'atelier. L'unité a également tenu compte de l'approche collaborative et empathique d'IBM et de sa capacité avérée à faire évoluer rapidement l'analytique.
« J'ai été surprise de la rapidité avec laquelle IBM a su gagner ma confiance... », déclare Leanne Lasher. « Dès son arrivée, IBM m'a dit : « Nous allons étudier ensemble cette problématique et discuter de la meilleure approche possible ».. J'ai vraiment eu le sentiment qu'IBM partageait avec nous une réflexion commune dans son approche du travail à accomplir. IBM avait défini un processus clair pour le recrutement et le transfert des connaissances, et l'entreprise avait des ressources disponibles immédiatement. »
Pour faciliter le développement du projet, IBM a constitué une équipe composée de spécialistes des données, d'ingénieurs de données, de stratèges en connaissances et d'un animateur dont l'objectif était de favoriser le partage d'expertise et de savoir-faire. IBM a également apporté des outils nouveaux (traitement automatique du langage naturel et apprentissage automatique), ainsi que des ensembles exclusifs de données externes sans rapport avec la Covid, concernant notamment la mobilité et le comportement des citoyens.
Pour rentabiliser rapidement la solution, l'équipe a choisi IBM Consulting for AI at Scale, une offre de services complète, allant du conseil jusqu'à l'exploitation, conçue pour le développement d'une stratégie de données, la gouvernance des données et la mise à l'échelle de l'analytique. En outre, IBM a continué à utiliser les méthodes Garage agiles centrées sur l'utilisateur, notamment des processus de planification de sprint de deux semaines.
En collaboration avec le RIDOH, avec le ministère des Technologies de l'information et avec Amazon Web Services (AWS), IBM a aussi contribué à la mise en place d'une plateforme de support du lac de données sur la Covid. Ce lac de données, qui fonctionne sur une infrastructure cloud AWS, contient des données complexes sur les cas et le traçage des cas contacts enregistrées par le logiciel Salesforce. IBM a connecté le lac de données à la plateforme Salesforce, qui est utilisée pour les études sur les cas et le traçage des cas contacts. Ce système permet de générer automatiquement des ensembles de données et de les mettre à disposition tous les jours à 10 heures du matin pour créer des rapports stratégiques. IBM a également automatisé la création d'analyses géospatiales qui s'appuient sur les cas de COVID-19 et d'autres données pour mettre en évidence les zones à fort taux de contamination par la COVID-19.
« Lorsque vous [manquez] de ressources pour accomplir le travail, un tel gain de temps est tout bonnement miraculeux L'automatisation de ces systèmes s'est avérée extrêmement précieuse pour le département de la Santé », déclare Leanne Lasher.
Dès le premier mois suivant l'arrivée d'IBM, l'itération initiale du lac de données basé sur AWS a été finalisée. En outre, l'équipe chargée des données et de l'analytique et IBM ont présenté une série de résultats majeurs à la gouverneure et à son cabinet. Les informations confirmant que la propagation communautaire était responsable de la majorité des cas de COVID-19 dans l'État ont été communiquées le lendemain lors d'une conférence de presse (lien externe).
IBM a également amélioré les méthodes statistiques du RIDOH afin que l'équipe chargée des données et de l'analytique ait accès à une plus grande variété de modèles de science des données descriptifs et prédictifs. De plus, IBM a développé une structure de mise en récit basée sur les données afin de rallier les décisionnaires et les experts dans le domaine à l'utilisation d'un processus décisionnel factuel.
Alors que l'hiver et la période des fêtes de fin d'année approchaient à grands pas, la gouverneure et les responsables de la réponse à la COVID-19 ont ensuite porté leur attention sur la hausse prévue des contaminations. Pour aider à convertir les données sur la Covid en informations exploitables, puis à la mise en place de règles, l'ancienne gouverneure Gina Raimondo a demandé à l'un des responsables de l'analytique et de l'IA chez IBM Consulting de rejoindre temporairement son équipe dirigeante en qualité de responsable des données.
Au cours des mois suivants, les principaux responsables du Rhode Island ont travaillé côte à côte avec IBM pour identifier les modèles de données existants et émergents, puis pour mettre en place des stratégies d'atténuation appropriées, notamment :
Joseph Wendelken et ses collègues de la division Politique, Information et Communications du RIDOH ont également utilisé ces informations pour faire comprendre aux médias et au public le raisonnement sous-tendant les décisions, comme dans le cas de la Rhode Island Pause. « Il était important que les gens comprennent pourquoi nous adoptions cette approche, car [pour beaucoup], il s'agissait d'un énorme sacrifice », explique-t-il.
Au cours de réunions régulières en interne, Joseph Wendelken a rencontré des membres de l'équipe de réponse à la COVID-19, dont des spécialistes d'IBM, pour examiner les dernières synthèses et replacer les chiffres en contexte. « Je nous considère parfois comme des traducteurs de données [...] et il est difficile d'adapter [les traductions] à des personnes dont les niveaux de compréhension des données sont différents », explique-t-il.
Travaillant au quotidien avec l'équipe d'IBM, Joseph Wendelken ne la percevait pas comme une entité distincte. « [Ils étaient] des partenaires en qui nous avions confiance... Cette confiance et la création de ces relations entre nous ont été réellement fondamentales pour ce que nous avons réussi à accomplir », explique-t-il.
Le RIDOH a retiré plusieurs avantages de sa collaboration avec IBM.
Premièrement, le RIDOH peut générer des informations plus rapidement et plus efficacement, notamment grâce aux sources de données externes exclusives d'IBM. Par exemple, certains rapports tels que les analyses géospatiales, dont la génération nécessitait auparavant quatre jours, peuvent désormais être obtenus en seulement quatre heures. En outre, l'équipe a traité très rapidement les données et produit des rapports portant sur environ un million de résultats de tests par mois.
Deuxièmement, le RIDOH peut assurer la continuité des opérations. Avec une équipe renforcée par des ingénieurs et des spécialistes de données IBM judicieusement choisis, l'équipe chargée des données et de l’analytique a pu gagner un temps précieux auparavant consacré au recrutement et à la formation.
Troisièmement, avec un lac de données sur la Covid basé sur le cloud AWS, le RIDOH peut aider l'État à répondre de façon assurée et systématique. Les autorités du Rhode Island ont désormais accès à des informations de haute qualité, faciles à comprendre, à assimiler et à exploiter, générées par des modèles analytiques complexes, tant descriptifs que prédictifs. Elles peuvent ainsi utiliser des informations en temps quasi réel pour mettre à jour les politiques de santé publique et, si nécessaire, informer les citoyens en quelques heures seulement.
Ces informations permettent en outre à l'État de mieux corriger les lacunes en matière de santé en allouant efficacement des vaccins, des tests, des traitements et d'autres fournitures aux zones les plus durement touchées, renforçant ainsi ses liens avec la Health Equity Zone et d'autres responsables communautaires. En outre, les autorités sont en mesure de fournir aux habitants les informations nécessaires pour mieux se protéger, eux, leurs proches et leurs communautés, en particulier lors de l'apparition et de la propagation de nouveaux variants de la Covid.
« IBM a changé la donne pour le département de la Santé du Rhode Island, mais aussi pour l'ensemble de l’État. » IBM a permis au RIDOH d'aborder l'analytique avec des technologies, des processus et des ensembles de données nouveaux, mais aussi avec un nouvel état d'esprit.
La collaboration continue. En collaboration avec le département des Technologies de l'information et avec AWS, avec lequel un partenariat stratégique a été conclu, IBM aide l'État à poursuivre le développement et la montée en puissance du lac de données sur la Covid et à rationaliser les processus grâce à l'automatisation. Alors que la pandémie passe au stade endémique, Leanne Lasher et d'autres responsables de la réponse à la COVID-19 prévoient également de collaborer avec IBM pour évaluer et définir les besoins en matière de données et d'analytique en vue d'aborder une nouvelle phase de réponse axée sur la reprise. Les domaines d'analyse potentiels sont l'impact de la COVID-19 sur la santé mentale et le développement socio-économique au sein du Rhode Island.
Les responsables de la réponse à la COVID-19 projettent également de créer et d'exécuter des modèles exploitant les données de l'État et d'autres ensembles de données pour prédire des scénarios futurs concernant les tendances des contaminations par la COVID-19. « La quantité des données sur la Covid dont dispose [le RIDOH] est gigantesque...», déclare Leanne Lasher. « Nous serions ravis de travailler avec IBM pour explorer à fond ces données. »
À propos de l'État du Rhode Island
« Espoir » est, heureuse coïncidence, la devise du Rhode Islandlien externe, un État dans lequel vivent près d'un million de personnes. Surnommé « l'État de l'Océan » (Ocean State), c'est le plus petit État américain, mais il possède 64 km de côtes. Le Rhode Island est l'un des 13 États originels de la nation américaine et l'un des six qui constituent la région de la Nouvelle-Angleterre.
À propos de l'État du Rhode Island
« Espoir » est, heureuse coïncidence, la devise du Rhode Islandlien externe, un État dans lequel vivent près d'un million de personnes. Surnommé « l'État de l'Océan » (Ocean State), c'est le plus petit État américain, mais il possède 64 km de côtes. Le Rhode Island est l'un des 13 États originels de la nation américaine et l'un des six qui constituent la région de la Nouvelle-Angleterre.
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