Selon le manager, l'objectif du projet était de « bien maîtriser la composition de notre portefeuille, de faire face à l'obsolescence de certains composants et de préparer les développements futurs », précise-t-il. « Une meilleure compréhension de nos actifs logiciels nous aidera à mettre à niveau les composants logiciels vulnérables tout en minimisant les charges, les risques et les coûts associés ».
L'outil ADDI permet aux membres de l'équipe chargée de l'infrastructure et des technologies de l'organisation de bien mieux maitriser leur portefeuille informatique. Non seulement ils peuvent facilement visualiser les liens entre les programmes, les modules, les tableaux et les fichiers, mais ils peuvent également utiliser la vue graphique de l'outil pour modifier la façon dont les programmes communiquent entre eux. En outre, l'outil aide l'équipe à identifier le « code mort », c'est-à-dire les sections ou les programmes qui ne sont plus sollicités par d'autres éléments du portefeuille, et à les supprimer afin d'optimiser les performances du système.
L'équipe utilise également l'outil IBM pour développer des scripts permettant d'automatiser la création, la construction et la mise à jour des projets de mappage. Cela les aide à répondre aux demandes de rapports et à créer des cartes précises et à jour. En fait, certaines réglementations bancaires locales obligent les opérateurs d'applications bancaires essentielles à fournir des éléments d'application et de mappage technique. Les demandes de ce type sont donc à la fois attendues et extrêmement importantes. Avec IBM ADDI, la gestion de la conformité avec la réglementation est simple.