Aujourd’hui, Aon Italia est très satisfait de la mise en œuvre des technologies IBM. L’automatisation et la numérisation de tâches auparavant manuelles ont apporté des avantages considérables à l’ensemble de l’entreprise, notamment la réduction des erreurs et le gain de temps. C’est particulièrement vrai dans le processus de sélection des risques, où la réduction des délais d’élaboration des propositions et l’amélioration de la qualité des données ont permis de réaliser des économies et d’accélérer les délais de mise sur le marché. Des données de meilleure qualité améliorent également la capacité de l’entreprise à négocier avec les fournisseurs et à établir, à mesurer et à respecter les accords de niveau de service avec les entreprises clientes et partenaires.
« Nous constatons d’excellents résultats pour ce qui est de la réduction des coûts, et même dans certains cas une augmentation des revenus, ceci grâce à une collaboration plus facile avec les clients et les prospects », déclare M. Baglioni « Et cela soutient parfaitement les activités de marketing et de vente. En interne, nous bénéficions également d’une réduction des efforts que représentent de nombreuses activités. » En outre, la plateforme permet à l’entreprise de gagner du temps dans certains domaines, comme la génération d’exemples de devis dans le processus de sélection des risques, ou le remboursement des frais médicaux aux clients.
Dans le cadre de la modernisation de l’infrastructure informatique d’Aon Italia, le processus de transformation s’appuie sur l’automatisation. Le premier projet de conteneurisation lancé par l’entreprise a consisté à reconstruire, dans un environnement de microservices Kubernetes, son application de portail pour la gestion des remboursements médicaux. Et en 2020, Aon Italia a commencé à migrer sa solution IBM Cloud Pak for Business Automation vers un environnement conteneurisé exécuté sur Red Hat OpenShift.
« Nous avons mis en place une approche par microservices », explique M. Baglioni. « Le prochain défi consiste à exposer chaque composant de façon à pouvoir le réutiliser et le réaffecter à d’autres applications, créant ainsi une base de référence de composants essentiels que nous pouvons réutiliser pour les services aux entreprises. Bien que nous ne sachions pas encore de façon précise quelle sera notre stratégie en matière de cloud hybride, nous souhaitons réduire la dépendance de nos centres de données à un emplacement physique. De cette façon, il sera très facile de déplacer nos applications selon nos besoins. »
L’entreprise examine d’autres projets qui pourraient permettre d’exploiter davantage ses capacités actuelles issues d’IBM Cloud Pak, en particulier celles liées à l’automatisation alimentée par l’IA. Chaque mois, l’entreprise traite plus de 30 000 e-mails provenant d’adresses électroniques génériques, et ce nombre ne cesse d’augmenter. Auparavant, le processus d’ouverture, d’analyse et d’acheminement ou de réponse à chaque e-mail était en grande partie manuel. À mesure que le volume augmente, les employés se retrouvent peu à peu submergés.
Aon Italia teste actuellement l’utilisation de la capacité IBM Process Mining d’IBM Cloud Pak for Business Automation afin d’obtenir des informations sur le processus et d’identifier les domaines à améliorer, ainsi que les capacités IBM Robotic Process Automation et de capture de données pour automatiser le processus, les capacités étant combinées à IBM Watson afin de mieux comprendre et classer le contenu de chaque e-mail. « Et peut-être qu’ensuite, nous pourrions automatiser les actions de suivi », explique M. Baglioni. « Pour plus de 80 % de notre courrier, ces actions sont très faciles, comme l’archivage, la réponse par oui ou par non, ou la confirmation de la réception des documents.
En ce qui concerne l’évolution d’Aon Italia grâce à IBM Cloud Paks, l’avenir s’annonce très prometteur. Nous pouvons profiter de la pile complète d’IBM, car lorsque vous incorporez des composants supplémentaires, ils sont entièrement intégrés les uns aux autres », explique M. Baglioni. « Nous n’avons pas besoin de dépenser des fonds supplémentaires pour les intégrer. C’est une excellente stratégie de la part d’IBM pour maintenir des relations à long terme avec ses clients, et nous y sommes très sensibles. »