Figaro est un système très volumineux, avec des millions de lignes de code, des milliers de tables et près de 25 000 objets de programme. Fonctionnant traditionnellement sur des serveurs IBM® i on Power, il était naturel d’opter pour IBM® Power Systems Virtual Server. Mais le choix de M. Cullen ne s’est pas limité à trouver la bonne combinaison de serveur et de système d’exploitation.
Grâce à IBM® Power Systems Virtual Server et à l’offre TaaS de CSI, M. Cullen et son équipe disposent d’autant de puissance de calcul qu’ils en ont besoin, quand ils en ont besoin. « Avec cette configuration, nous pouvons faire une demande de serveur virtuel avec la version requise de Figaro et l’ensemble de données approprié, effectuer nos tests, puis supprimer le serveur virtuel », explique-t-il.
La possibilité d’accéder à la bonne version de Figaro est essentielle. Le calendrier actuel de FNZ prévoit de nouvelles versions du logiciel tous les trimestres, avec des correctifs toutes les deux semaines. Afin que les tests soient efficaces et rentables, l’équipe de M. Cullen doit être en mesure de lancer une version précise et à jour du logiciel en fonction des besoins. « Nous souhaitons éviter de nous retrouver dans une situation où, pour effectuer un test qui ne prendrait que 15 minutes, nous devrions installer des tonnes et des tonnes de correctifs pour obtenir un environnement de travail – tout doit être prédéfini », ajoute-t-il.
Pour ce faire, l’équipe s’appuie sur une approche de type Docker, qui utilise des couches pour générer des images. « Il s’agit de prendre un point de départ connu et d’ajouter des couches par-dessus. Nous avons pris les images de base d’IBM® Power et nous avons ajouté progressivement de plus en plus de configuration logicielle jusqu’à obtenir un environnement entièrement fonctionnel », raconte M. Cullen.
Aujourd’hui, l’équipe de M. Cullen a automatisé l’ensemble du processus de génération d’images afin que tout soit à jour, en utilisant un programme d’observation permettant d’identifier les artefacts nouvellement publiés. « Supposons que nous voulions passer de la version 1.2 à la version 1.3 de notre système. Lorsque nous publions le correctif de la version 1.3 dans le référentiel d’artefacts, le programme de surveillance s’en aperçoit, fait tourner la version précédente sur une machine virtuelle, installe le correctif de la version 1.3, enregistre les résultats et supprime la machine virtuelle. »
Grâce à cette approche, FNZ dispose en permanence d’un environnement de test prêt à l’emploi.« Tout ce que nous avons à faire, c’est de trouver la bonne image, de la mettre en service et d’exécuter les tests », se félicite M. Cullen.
De plus, grâce à l’approche basée sur Docker, si un élément des couches intermédiaires change, il n’est pas nécessaire de générer à nouveau les couches voisines. « C’est d’une efficacité redoutable », note-t-il.
La solution CSI tire également parti de la technologie de gestion multicloud IBM® Cloud Pak, qui fonctionne sur Red Hat® OpenShift® (lien externe à ibm.com). Plus précisément, ses fonctions cloud de gestion de l’automatisation aident FNZ à organiser, à modéliser et à paramétrer les définitions de système Terraform, tandis que les scripts d’automatisation Red Hat Ansible® (lien externe à ibm.com) déploient intégralement l’application.